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Identify About Books Paradis: Clef en main

Title	:	Paradis: Clef en main
Author	:	Nelly Arcan
Book Format	:	Paperback
Book Edition	:	Deluxe Edition
Pages	:	Pages: 216 pages
Published	:	November 3rd 2009 by Coups de tête (first published 2009)
Categories	:	Fiction. Roman

Paradis: Clef en main

Nelly Arcan

Paperback | Pages: 216 pages

Rating: 3.45 | 325 Users | 26 Reviews

Chronicle In Favor Of Books Paradis: Clef en main

Une obscure compagnie organise le suicide de ses clients. Une seule condition leur est imposée : que leur désir de mourir soit incurable. Pur, absolu. Antoinette a été une candidate de Paradis, Clef en main. Elle n'en est pas morte. Désormais paraplégique, elle est branchée à une machine qui lui pompe ses substances organiques. Et Antoinette nous raconte sa vie. Elle raconte sa mère, dont elle pourrait être la copie conforme. Elle raconte Paradis, Clef en main et son processus de sélection, ses tests et ses épreuves, son chauffeur et son psychiatre halluciné, le caniche blanc qui ponctue les scènes rocambolesques, son comité de sélection. Un monde Kafkaïen. Elle nous raconte aussi son oncle Léon, dont le suicide, également organisé par Paradis, Clef en main, a fait les manchettes du monde entier. Et surtout, elle nous raconte son nouveau désir d'exister, son second souffle. Paradis, Clef en main est le cinquième livre de Nelly Arcan, qui s'aventure ici, et avec brio, dans la fiction.

Roman d'anticipation, roman sur le désir de vivre, sur celui de mourir. Roman sur la responsabilité, sur le rapport à l'Autre, sur le rapport au corps, à la vie. Roman fabuleux écrit d'une plume acérée.

Describe Books Toward Paradis: Clef en main

Original Title:	Paradis, Clef en main
ISBN:	2923603214 (ISBN13: 9782923603216)
Edition Language:	French URL http://www.coupsdetete.com/index.php?id=24

Rating About Books Paradis: Clef en main

Ratings: 3.45 From 325 Users | 26 Reviews

Commentary About Books Paradis: Clef en main

It would be disingenuous of me to not admit to a morbid curiousity motivating me to read this book. It was included by the Globe and Mail in a list of 100 must-read books (mostly Canadian, of course) written in 2011. The very brief blurb mentioned the subject matter (which didn't overwhelm me with interest)--suicide--with the added punch that the author, Nelly Arcan, committed suicide a short time after completing the book. Who could resist the compulsion to read what could be thought of as a

Just read The Myth of Sisyphus by Camus instead.

I picked this book from the library shelf out of interest in reading Quebec authors. Then I must admit it was the morbid curiosity of reading whatbit seemed to be a suicide book, finished just weeks before the author took her own life.The book has different themes. The suicidal mind, traumatic life events, toxic family relations, etc. It tries to explore too many of them, though, and I feel it falls short while trying. It is at times moving, sometimes gross and often offers ridiculous scenarios.

A strange, strange book. Any reading of it will be colored by Arcan's subsequent suicide, and that makes it hard to give an objective review. It's a memoir, it's a work of the most basic Kafkaesque, it's nauseating at times and fairly moving at others. It's not profoundly life-changing, but it can't be meant to be. Part of me just wonders if I was unaffected because I can't relate, but then, that's the point too, I think.

Je m'attendais à un livre plus percutant. On y parle de suicide à travers les yeux d'une femme. Quelques réflexions sur la vie et la société sont bien placées et le style de l'auteure toujours cru, sans e faire trop, est parfait. J'ai souvent ce manque de mot pour décrire ou critiquer les livres de Nelly Arcan, que j'aime bien, sans trop pouvoir l'expliquer et qui en même temps me laisse un peu perplexe. À vous de voir!

sombre histoire..!!

C'est le premier roman de Nelly Arcand que je lis. J'ai bien aimé la prémisse du livre. Mais le style d'écriture n'est pas pour moi. Je l'ai trouvé lourd. L'impression qu'il m'en reste, c'est que chaque deuxième ou troisième phrase de terminait par une série de métaphores redondantes. J'en ai trouvé la lecture pénible par bouts.